Hypersensible-Zèbre

Attention très/trop sensible …

Ayant découvert mon fonctionnement d’hypersensible il y a quelques années grâce à quelques experts et livres (« trop intelligent pour être heureux » de ou « Je pense trop » de petit collin), j’ai étudié le sujet et me suis intéréssée de prêt au mode de fonctionnement de ceux que l’on nomme « Hypersensible »ou « zèbre »ou « surdoué »ou « surefficient »ou encore « Haut Potentiel ».

Les mots clés de ces zèbres (10 à 15 % de la population quand même !) sont :

  • Hyperesthésie
  • Hyperémotivité et hypersensibilité
  • Pensée en arborescence (un mode de pensée différent et complexe)
  • sensation de « je suis différent »
  • Valeurs importantes
  • étiquette « TDAH » : Trouble du Déficit de l’Attention Hyperactivité

Le terme “zèbre” a été introduit par Jeanne Siaud-Facchin dans son ouvrage Trop intelligent pour être heureux ? L’adulte surdoué. Il désigne aussi bien l’enfant surdoué que l’adulte surdoué. Extraits des pages 20 à 23 de l’ouvrage :

« Le zèbre, cet animal différent, cet équidé qui est le seul que l’homme ne peut pas apprivoiser, qui se distingue nettement des autres dans la savane tout en utilisant ses rayures pour se dissimuler, qui a un besoin des autres pour vivre et prend un soin très important de ses petits, qui est tellement différent tout en étant pareil. Et puis, comme nos empreintes digitales, les rayures des zèbres sont uniques et leur permettent de se reconnaître entre eux. Chaque zèbre est différent. Je continuerai alors à dire et répéter que ces « drôles de zèbres » ont besoin de toute notre attention pour vivre en harmonie dans ce monde exigeant. Je continuerai à défendre tous ces gens « rayés » comme si ces zébrures évoquaient aussi les coups de griffe que la vie peut leur donner. Je continuerai à leur expliquer que leurs rayures sont aussi de formidables particularités qui peuvent les sauver d’un grand nombre de pièges et de dangers. Qu’elles sont magnifiques et qu’ils peuvent en être fiers. Sereinement. » Jeanne Siaud Facchin

zebre

 

 » Notre peur la plus profonde n’est pas que nous ne soyons pas à la hauteur,

Notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toutes limites.

C’est notre propre lumière et non notre obscurité qui nous effraie le plus.

Nous nous posons la question… Qui suis-je, moi, pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux ?

En fait, qui êtes-vous pour ne pas l’être ? »

Extrait texte de Marianne Williamson